TY - JOUR
T1 - Hereditary Nature of the Behaviour of Erythrocytes in the Immune Adherence Haemagglutination Phenomenon
AU - Klopstock, A.
AU - Schwartz, Jeanna
AU - Bleiberg, Y.
AU - Adam, A.
AU - Szeinberg, A.
AU - Schlomo, J.
PY - 1965
Y1 - 1965
N2 - 157 randomly sampled individuals and 71 families with 182 offspring have been examined for the pattern of reactivity of red blood cells in the immune‐adherence haemagglutination test (IAH). Four main types of reactors could be discerned: strong, weak, zonal and negative. The technique of examination permits a clear‐cut division into positive and negative reactors. A further subdivision of the positive group is suggestive, but its definition is not yet certain. The four types were distributed at random between the sexes and the mating types. These types of reactivity were distributed at random between the sexes, mating types and the ABO and Rh blood groups. The segregation of positives and negatives among the offspring of the respective mating types was compatible with the hypothesis that negativity was due to an autosomal recessive gene. Family studies indicated the hereditary nature of these subtypes. However, the genetic mechanism involved could not be elucidated. It is felt that improvement of the technique of identification of the different types is required before further progress may be made. No association was found between the immune‐adherence types and ABO or Rh (D) blood groups. Preliminary analysis performed upon the material, divided into positive and negative reactors only (without subdivision of the positive group) suggested a possible linkage between immune‐adherence haemagglutination and the ABO locus. 157 individus pris au hasard et 71 familles avec 182 descendants ont été examinés en ce qui concerne le degré de réactivité des érythrocytes au test d'hémagglutination d'immuno‐adhérence (IAH). On a pu mettre en évidence quatre types de réactions: les réactions fortes, les réactions faibles, les réactions de zone et les réactions négatives. La technique d'examen a permis une division tout‐à‐fait claire entre les personnes donnant des réactions négatives et les personnes donnant des réactions positives. Une subdivision supplémentaire est intéressante, mais sa définition précise n'est pas encore certaine. Les quatre types de réactions se distribuent au hasard en ce qui concerne le sexe et le genre de couple. Ces types de réactions se distribuent au hasard parmi les sexes, les types de couple et les antigènes de groupe sanguin ABO, et Rhésus. La ségrégation parmi les descendants positifs et négatifs des couples respectifs est conforme à l'hypothèse que la négativité est due à un gène recessif autosomal. Des études de familles ont démontrés la nature héréditaire de ces sous‐types. Malgré tout, le mécanisme génétique n'a pas pu être élucidé. Il semble nécessaire que les techniques d'identification de ces différents types doit être améliorées avant que d'autres investigations puissent être pratiquées. Il n'y a pas d'association entre le type d'immuno‐adhérence et les groupes sanguins ABO et Rhésus. Des analyses préliminaires pratiquées sur du matériel où les personnes présentant des réactions étaient divisées en réactions positives et négatives seulement (sans subdivisions du groupe des personnes positives) suggéraient un « linkage » possible entre l'immuno‐adhérence et le locus ABO. Es wurden 157 unausgewählte Individuen sowie 71 Familien mit 182 Nachkommen auf das Verhalten ihrer Erythrozyten im Immunadhärenz‐Hämagglutinationstest (IAH) untersucht. Es wurden vier Hauptreaktionstypen beobachtet: stark positive, schwach positive, solche mit Zonenphänomenen und negative. Die gewählte Untersuchungstechnik erlaubt eine eindeutige Scheidung in positive und negative Reagenten. Eine weitere Differenzierung in der positiven Gruppe erscheint wahrscheinlich; ihre Umgrenzung ist aber noch unklar. Die vier Reaktionstypen zeigten eine gleichmäßige Verteilung innerhalb der Geschlechter, den verschiedenen Paarungen sowie den ABO‐ und Rh‐Blutgruppen. Die Verteilung der positiven und negativen Reagenten unter den Nachkommen der verschiedenen Paarungstypen spricht dafür, daß die Negativität auf ein autosomales rezessives Gen zurückzuführen ist. Allerdings gelang es nicht den Erbgang eindeutig sicherzustellen. Dies dürfte erst möglich werden, falls es gelingt, die Methodik der Identifikation der einzelnen Typen wesentlich zu verbessern. Zwischen den Immunadhärenztypen und den ABO‐ und den Rh (D)‐Blutgruppen wurde keine Beziehung gefunden. Immerhin ergab eine vorläufige Analyse des lediglich in positive und negative Reagenten eingeteilten Materials, wobei die Unterteilung der positiven Gruppe unberücksichtigt blieb, eine mögliche Koppelung der Immunadhärenz‐Hämagglutination zum ABO‐Locus.
AB - 157 randomly sampled individuals and 71 families with 182 offspring have been examined for the pattern of reactivity of red blood cells in the immune‐adherence haemagglutination test (IAH). Four main types of reactors could be discerned: strong, weak, zonal and negative. The technique of examination permits a clear‐cut division into positive and negative reactors. A further subdivision of the positive group is suggestive, but its definition is not yet certain. The four types were distributed at random between the sexes and the mating types. These types of reactivity were distributed at random between the sexes, mating types and the ABO and Rh blood groups. The segregation of positives and negatives among the offspring of the respective mating types was compatible with the hypothesis that negativity was due to an autosomal recessive gene. Family studies indicated the hereditary nature of these subtypes. However, the genetic mechanism involved could not be elucidated. It is felt that improvement of the technique of identification of the different types is required before further progress may be made. No association was found between the immune‐adherence types and ABO or Rh (D) blood groups. Preliminary analysis performed upon the material, divided into positive and negative reactors only (without subdivision of the positive group) suggested a possible linkage between immune‐adherence haemagglutination and the ABO locus. 157 individus pris au hasard et 71 familles avec 182 descendants ont été examinés en ce qui concerne le degré de réactivité des érythrocytes au test d'hémagglutination d'immuno‐adhérence (IAH). On a pu mettre en évidence quatre types de réactions: les réactions fortes, les réactions faibles, les réactions de zone et les réactions négatives. La technique d'examen a permis une division tout‐à‐fait claire entre les personnes donnant des réactions négatives et les personnes donnant des réactions positives. Une subdivision supplémentaire est intéressante, mais sa définition précise n'est pas encore certaine. Les quatre types de réactions se distribuent au hasard en ce qui concerne le sexe et le genre de couple. Ces types de réactions se distribuent au hasard parmi les sexes, les types de couple et les antigènes de groupe sanguin ABO, et Rhésus. La ségrégation parmi les descendants positifs et négatifs des couples respectifs est conforme à l'hypothèse que la négativité est due à un gène recessif autosomal. Des études de familles ont démontrés la nature héréditaire de ces sous‐types. Malgré tout, le mécanisme génétique n'a pas pu être élucidé. Il semble nécessaire que les techniques d'identification de ces différents types doit être améliorées avant que d'autres investigations puissent être pratiquées. Il n'y a pas d'association entre le type d'immuno‐adhérence et les groupes sanguins ABO et Rhésus. Des analyses préliminaires pratiquées sur du matériel où les personnes présentant des réactions étaient divisées en réactions positives et négatives seulement (sans subdivisions du groupe des personnes positives) suggéraient un « linkage » possible entre l'immuno‐adhérence et le locus ABO. Es wurden 157 unausgewählte Individuen sowie 71 Familien mit 182 Nachkommen auf das Verhalten ihrer Erythrozyten im Immunadhärenz‐Hämagglutinationstest (IAH) untersucht. Es wurden vier Hauptreaktionstypen beobachtet: stark positive, schwach positive, solche mit Zonenphänomenen und negative. Die gewählte Untersuchungstechnik erlaubt eine eindeutige Scheidung in positive und negative Reagenten. Eine weitere Differenzierung in der positiven Gruppe erscheint wahrscheinlich; ihre Umgrenzung ist aber noch unklar. Die vier Reaktionstypen zeigten eine gleichmäßige Verteilung innerhalb der Geschlechter, den verschiedenen Paarungen sowie den ABO‐ und Rh‐Blutgruppen. Die Verteilung der positiven und negativen Reagenten unter den Nachkommen der verschiedenen Paarungstypen spricht dafür, daß die Negativität auf ein autosomales rezessives Gen zurückzuführen ist. Allerdings gelang es nicht den Erbgang eindeutig sicherzustellen. Dies dürfte erst möglich werden, falls es gelingt, die Methodik der Identifikation der einzelnen Typen wesentlich zu verbessern. Zwischen den Immunadhärenztypen und den ABO‐ und den Rh (D)‐Blutgruppen wurde keine Beziehung gefunden. Immerhin ergab eine vorläufige Analyse des lediglich in positive und negative Reagenten eingeteilten Materials, wobei die Unterteilung der positiven Gruppe unberücksichtigt blieb, eine mögliche Koppelung der Immunadhärenz‐Hämagglutination zum ABO‐Locus.
UR - http://www.scopus.com/inward/record.url?scp=0342424151&partnerID=8YFLogxK
U2 - 10.1111/j.1423-0410.1965.tb04335.x
DO - 10.1111/j.1423-0410.1965.tb04335.x
M3 - ???researchoutput.researchoutputtypes.contributiontojournal.article???
C2 - 14339225
AN - SCOPUS:0342424151
SN - 0042-9007
VL - 10
SP - 177
EP - 187
JO - Vox Sanguinis
JF - Vox Sanguinis
IS - 2
ER -